GRANDANGOLO







 
 

CROATIAN   ENGLISH   GREEK   NEDERLANDS   POLSKI   PORTUGUESE   ROMANIAN  SPANISH  РУССКИЙ

What part will your country play in World War III?

By Larry Romanoff

The true origins of the two World Wars have been deleted from all our history books and replaced with mythology. Neither War was started (or desired) by Germany, but both at the instigation of a group of European Zionist Jews with the stated intent of the total destruction of Germany. The documentation is overwhelming and the evidence undeniable. (1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) (11)

That history is being repeated today in a mass grooming of the Western world’s people (especially Americans) in preparation for World War IIIwhich I believe is now imminent

READ MORE

 
 

FREE JULIAN ASSANGE

Showing posts with label F-35. Show all posts
Showing posts with label F-35. Show all posts

Wednesday, October 7, 2020

SP -- Manlio Dinucci -- ‎«EL ARTE DE LA GUERRA»‎ -- Se prepara en Ghedi (Italia) la nueva ‎base para los F-35‎

 «EL ARTE DE LA GUERRA»

Se prepara en Ghedi (Italia) la nueva base para los F-35

por Manlio Dinucci

Estados Unidos prosigue la modernización de su arsenal nuclear. En violación del Tratado de No Proliferación nuclear, del cual es firmante, Italia alberga cada vez máarmamento nuclear estadounidense. 

RED VOLTAIRE | ROMA (ITALIA) | 7 DE OCTUBRE DE 2020

FRANÇAIS ITALIANO TÜRKÇE



En el aeropuerto militar de Ghedi, en la provincia italiana de Brescia, han comenzado los trabajos para la construcción de la principal base operativa de los aviones de guerra F-35A de la fuerza aérea italiana, capaces de portar bombas nucleares [estadounidenses]. 

La empresa de Bari Matarresse Spa, que ganó la licitación con una oferta de 91 millones de euros, construirá allí un hangar de más de 6 000 metros cuadrados para el mantenimiento de esos aviones y un inmueble para el puesto de mando y los simuladores de vuelo. Este último estará dotado de un sistema de aislamiento acústico para «evitar que se filtren conversaciones». 

La instalación tendrá dos pistas, dotadas cada una de 15 hangares que albergarán los aviones listos para el despegue. Esto último confirma lo que habíamos publicado hace 3 años, en la edición de Il Manifesto correspondiente al 28 de noviembre de 2017, cuando señalamos que el proyecto iniciado por la entonces ministro de Defensa Roberta Pinotti preveía el despliegue de al menos 30 cazabombarderos F-35A.


FR -- Manlio Dinucci -- L'Art de la Guerre -- À Ghedi on prépare la nouvelle base pour les F-35



Un F-35 exposé à l'Aerobase sur une photo de février dernier


« L’ART DE LA GUERRE »

À Ghedi on prépare la nouvelle base pour les F-35

par Manlio Dinucci 

FRANÇAIS ITALIANO

 

Dans l’aéroport militaire de Ghedi (Brescia) sont en train de commencer les travaux pour réaliser la principale base opérationnelle des chasseurs F-35A de l’Aéronautique italienne armés de bombes nucléaires. La Matarrese Spa de Bari, qui a obtenu l’adjudication avec une offre de 91 millions d’euros, construira un grand hangar pour la maintenance des chasseurs (plus de 6 000 m2) et un petit immeuble qui accueillera le commandement et les simulateurs de vol, doté d’une parfaite isolation thermo-accoustique « dans le but d’éviter des révélations de conversations ».

Deux lignes de vol seront réalisées, chacune avec 15 petits hangars à l’intérieur desquels se trouveront les chasseurs prêts au décollage. Ceci confirme ce que nous avions publié il y a trois ans [1], à savoir que le projet (lancé par Roberta Pinotti, alors ministre de la Défense) prévoyait le déploiement d’au moins 30 chasseurs F-35A.

L’aire où seront basés les F-35, clôturée et surveillée, sera séparée du reste de l’aéroport et top secret. La raison en est claire : à côté des nouveaux chasseurs seront basées à Ghedi, dans un dépôt secret qui n’apparaît pas dans l’adjudication, les nouvelles bombes états-uniennes B61-12.

De même que les actuelles B-61 dont sont armés les Tornado PA-200 du 6ème Stormo, les B61-12 seront contrôlées par l’unité spéciale états-unienne (704th Munitions Support Squadron de l’U.S. Air Force), « responsable de la réception, du stockage et de la maintenance des armes de la réserve de guerre US destinées au 6ème Stormo Otan de l’Aéronautique italienne ». Cette même unité de l’Aéronautique US a le devoir de « soutenir directement la mission d’attaque » du 6ème Stormo.

Des pilotes italiens sont déjà entraînés, dans les bases aériennes de Luke en Arizona et d’Eglin en Floride, à l’utilisation des F-35A y compris pour des missions d’attaque nucléaire sous commandement US.

Des chasseurs du même type, armés ou en tous cas armables avec les B61-12, sont déployés dans la base d’Amendola (Foggia), où ils ont déjà dépassé les 5 000 heures de vol. En plus de ceux-ci, il y aura les F-35 de l’U.S. Air Force déployés à Aviano avec les B61-12.

Le nouveau chasseur F-35A et la nouvelle bombe nucléaire B61-12 constituent un système d’arme intégré : l’utilisation de l’avion comporte l’usage de la bombe. Le ministre de la Défense Guerini (Pd) a confirmé que l’Italie maintient son engagement à acheter 90 chasseurs F-35, dont 60 de modèle A à capacité nucléaire.

La participation au programme du F-35, en tant que partenaire de second niveau, renforce l’ancrage de l’Italie aux États-Unis. L’industrie guerrière italienne, chapeautée par la société Leonardo qui gère le site des F-35 à Cameri (Novara), se trouve de plus en plus intégrée dans le gigantesque complexe militaro-industriel US chapeauté par la société Lockheed Martin, la plus grande industrie guerrière du monde, constructrice du F-35.

En même temps l’Italie —État non-nucléaire adhérent au Traité de non-prolifération qui lui interdit d’avoir des armes nucléaires sur son territoire— joue la toujours plus périlleuse fonction de base avancée de la stratégie nucléaire USA/OTAN contre la Russie et d’autres pays.

Sachant que chaque avion peut transporter en soute deux B61-12, rien que les 30 F-35 A de Ghedi auront une capacité d’au moins 60 bombes nucléaires. Selon la Fédération des scientifiques américains, la nouvelle bombe « tactique » B61-12 pour les F-35, que les USA déploieront en Italie et dans d’autres pays européens à partir de 2022, étant plus précise et en position rapprochée des objectifs, « aura la même capacité militaire que les bombes stratégiques déployées aux États-Unis ».

Il y a enfin la question, non encore définie, des coûts. Le Service de recherche du Congrès des États-Unis, en mai 2020, estime le prix moyen d’un F-35 à 108 millions de dollars, en précisant cependant que « c’est le prix de l’avion sans moteur », dont le coût est d’environ 22 millions. Une fois acheté, même à un prix moindre comme le promet pour l‘avenir Lockheed Martin, commence pour le F-35 la dépense pour sa mise à jour continue, pour la formation des équipages et pour son utilisation. Une heure de vol d’un F-35 —documente l’U.S. Air Force— coûte plus de 42 000 dollars. Cela signifie que rien que les 5 000 heures de vol effectuées par les F-35 d’Amendola ont coûté à nos caisses publiques 180 millions d’euros.

[1Il manifesto, 28 novembre 2017.

Manlio Dinucci

il manifesto06 octobre 2020

Tuesday, October 6, 2020

IT -- Manlio Dinucci -- L'arte della guerra -- A Ghedi si prepara la nuova base per gli F-35 nucleari



Un F-35 in «display» all’Aerobase inuna foto del febbraio scorso


L’arte della guerra

A Ghedi si prepara la nuova base per gli F-35 nucleari

Manlio Dinucci

FRANÇAIS ITALIANO 

Nell’aeroporto militare di Ghedi (Brescia) stanno iniziando i lavori per realizzare la principale base operativa dei caccia F-35A dell’Aeronautica italiana armati di bombe nucleari. La Matarrese spa di Bari, che si è aggiudicata l’appalto con un’offerta di 91 milioni di euro, costruirà un grande hangar per la manutenzione dei caccia (oltre 6000 m2) e una palazzina che ospiterà il comando e i simulatori di volo, dotata di un perfetto isolamento termoacustico «al fine di evitare rivelazioni di conversazioni».

Verranno realizzate due linee di volo, ciascuna con 15 hangaretti al cui interno vi saranno i caccia pronti al decollo.  Ciò conferma quanto pubblicammo tre anni fa (il manifesto, 28 novembre 2017), ossia che il progetto (varato dall’allora ministra della Difesa Pinotti) prevedeva lo schieramento di almeno 30 caccia F-35A.

L’area in cui verranno dislocati gli F-35, recintata e sorvegliata, sarà separata dal resto dell’aeroporto e top secret. Il perché è chiaro: accanto ai nuovi caccia saranno dislocate a Ghedi, in un deposito segreto che non compare nell’appalto, le nuove bombe nucleari statunitensi B61-12.

Come le attuali B-61 di cui sono armati i Tornado PA-200 del 6° Stormo, le B61-12 saranno controllate dalla speciale unità statunitense (704th Munitions Support Squadron della U.S. Air Force), «responsabile del ricevimento, stoccaggio e mantenimento delle armi della riserva bellica Usa destinate al 6° Stormo Nato dell’Aeronautica italiana». La stessa unità dell’Aeronautica Usa ha il compito di «sostenere direttamente la missione di attacco» del 6° Stormo. 

Piloti italiani vengono già addestrati, nelle basi aeree di Luke in Arizona e Eglin in Florida, all’uso degli F-35A anche per missioni di attacco nucleare sotto comando Usa. 

Caccia dello stesso tipo, armati o comunque armabili con le B61-12, sono dislocati nella base di Amendola (Foggia), dove hanno già superato le 5000 ore di volo. Vi saranno, oltre a questi, gli F-35 della U.S. Air Force schierati ad Aviano con le B61-12.

Il nuovo caccia F-35A e la nuova bomba nucleare B61-12 costituiscono un sistema d’arma integrato: l’uso dell’aereo comporta l’uso della bomba.  Il ministro della Difesa Guerini (Pd) ha confermato che l’Italia mantiene l’impegno ad acquistare 90 caccia F-35, di cui 60 di modello A a capacità nucleare.

La partecipazione al programma dell’F-35, quale partner di secondo livello, rafforza l’ancoraggio dell’Italia agli Stati uniti. L’industria bellica italiana, capeggiata dalla Leonardo che gestisce l’impianto degli F-35 a Cameri (Novara), viene ancor più integrata nel gigantesco complesso militare-industriale Usa capeggiato dalla Lockheed Martin, la maggiore industria bellica del mondo, costruttrice dell’F-35.

Allo stesso tempo l’Italia – Stato non-nucleare aderente al Trattato di non-proliferazione che gli vieta di avere armi nucleari sul proprio territorio – svolge la sempre più pericolosa funzione di base avanzata della strategia nucleare Usa/Nato contro la Russia e altri paesi. 

Dato che ciascun aereo può trasportare nella stiva interna 2 B61-12, solo i 30 F-35A di Ghedi avranno una capacità di almeno 60 bombe nucleari. Secondo la Federazione degli scienziati americani, la nuova bomba «tattica» B61-12 per gli F-35, che gli Usa schiereranno in Italia e altri paesi europei dal 2022, essendo più precisa e in posizione ravvicinata agli obiettivi, «avrà la stessa capacità militare delle bombe strategiche dislocate negli Stati uniti».

Vi è infine la questione, ancora indefinita, dei costi. Il Servizio di ricerca del Congresso degli Stati uniti, nel maggio 2020, stima il prezzo medio di un F-35 in 108 milioni di dollari, precisando però che è «il prezzo dell’aereo senza motore», il cui costo è di circa 22 milioni. Una volta acquistato un F-35, anche a prezzo minore come promette per il futuro la Lockheed Martin, inizia la spesa per il suo continuo ammodernamento, per la formazione degli equipaggi e per il suo uso. Un’ora di volo di un F-35A – documenta la US Air Force – costa oltre 42000 dollari. Ciò significa che solo le 5000 ore di volo effettuate dagli F-35 di Amendola sono costate alle nostre casse pubbliche 180 milioni di euro. 

Manlio Dinucci

il manifesto06 ottobre 2020

Friday, November 29, 2019

PT -- Manlio Dinucci -- Os F-35 levantam voo com asas bipartidárias



Imagem relacionada

Os F-35 levantam voo com asas bipartidárias
Manlio Dinucci

Lorenzo Guerini (PD), Ministro da Defesa do Governo Conte II, comunicou às comissões parlamentares, a passagem para a fase 2 do programa de compra dos F-35, da empresa americana Lockheed Martin. Passagem preparada pelo Governo Conte I: o Vice Primeiro Ministro Salvini (Lega) sublinhou, em Março passado, que “qualquer hipótese de abrandamento ou correcção do programa de compra dos F-35 seria uma perda para a economia italiana”; o Subsecretário dos Negócios Estrangeiro, Di Stefano (M5S) solicitou uma “revisão profunda dos acordos”, mas acrescentou que “se tivermos penalidades a pagar, certamente não entraremos na História por ter traído um acordo feito com empresas privadas: existe toda uma cadeia que deve ser respeitada”. Em Maio passado, o Governo Conte I autorizou “a construção e entrega de 28 caças F-35 até 2022 (os aviões entregues até ao momento são 13), cujos contratos foram completamente financiados”, obviamente com dinheiro público.
Em Outubro passado, em conversas confidenciais com o Governo Conte II, em Roma, o Secretário de Estado USA, Mike Pompeo, pedia à Itália para desbloquear a encomenda para uma compra posterior. O Ministro da Defesa Guerini assegurou-lhe, imediatamente, numa entrevista ao Corriere della Sera, que "a Itália é um país confiável e credível em relação aos compromissos internacionais: contribuir para o programa F-35 é um sinal tangível de nossa confiabilidade". Alguns dias depois, durante uma conferência de imprensa em Washington com o Presidente Mattarella, o Presidente Trump anunciou exultante: "A Itália acabou de comprar 90 novos F-35. O programa é muito bom".
A Itália confirma, portanto, o seu empenho em comprar 90 unidades, com uma despesa prevista de cerca de 14 biliões de euros. A essa junta-se a verba não quantificável para a actualização contínua do software de caça. A Itália não é só compradora, mas fabricante do F-35, como parceira de segundo nível. A Leonardo - a maior indústria militar italiana, da qual o Ministério da Economia e Finanças é o principal accionista, com cerca de 30% - está fortemente integrada no complexo industrial militar USA. Foi, por este facto,  escolhida para gerir a fábrica Faco, em Cameri (Piemonte), de onde saem os caças destinados à Itália e à Holanda. A Leonardo produz, também, as asas completas para os aviões montados nos USA, utilizando materiais produzidos nas fábricas de Foggia (Puglia), Nola (Campania) e Venegono (Lombardia). O emprego na Faco é de cerca de mil postos de trabalho, dos quais muitos são provisórios, apenas um sexto do previsto. A despesa para a construção da fábrica Faco e a compra dos caças são superiores ao valor dos contratos estipulados pelas empresas italianas para a produção do F-35. Do ponto de vista económico, ao contrário do que o governo alega, a participação no programa F-35 é um fracasso para o erário público.
O Ministro Guerini lançou a fase 2 do programa F-35 “sem uma avaliação de mérito e na ausência de uma declaração, em discordância com as indicações do Parlamento”, denuncia o deputado da LeU, Palazzotto, pedindo que o Ministro explique “em que base, assumiu, autonomamente, esta decisão”. Na sua “explicação”, o Ministro nunca dirá a verdadeira razão pela qual tomou essa decisão, não autonomamente, mas por deliberação do ‘establishment’ italiano. A participação no programa F-35 reforça a ancoragem política e estratégica da Itália aos Estados Unidos, integrando ainda mais o complexo militar industrial italiano no gigantesco complexo militar industrial USA. A decisão de participar no programa é, portanto, uma escolha política, feita numa base bipartidária. Confirma-o, o facto da Liga, adversária do Partido Democrata, aplaudir o Ministro do Pd: “Observamos com satisfação, que sobre o F-35, o Ministro Guerini anunciou o início da fase 2”, declaram, unânimes, os legisladores da Liga. As principais forças políticas, em contraste uma com a outra, reagrupam-se, seguindo os Estados Unidos, “o aliado privilegiado” que, em breve, instalará em Itália, juntamente com os F-35as novas bombas nucleares B61-12 projectadas, em particular, para estes caças da quinta geração.
il manifesto, 30 de Novembro de 2019

Resultado de imagem para picture of NATO EXIT COMITTATO NO GUERRA NO NATO
DECLARAÇÃO DE FLORENÇA
Para uma frente internacional NATO EXIT, 
em todos os países europeus da NATO

IT -- Manlio Dinucci -- Gli F-35 decollano con ali bipartisan


Imagem relacionada
Gli F-35 decollano con ali bipartisan
Manlio Dinucci


Lorenzo Guerini (Pd), ministro della Difesa del governo Conte II, ha comunicato alle commissioni parlamentari il passaggio alla fase 2 del programma di acquisto degli F-35 della statunitense Lockheed Martin. Passaggio preparato dal governo Conte I: il vicepremier Salvini (Lega) sottolineava lo scorso marzo che «ogni ipotesi di rallentamento o ravvedimento del programma di acquisto degli F-35 sarebbe un danno per l’economia italiana»; il sottosegretario agli Esteri Di Stefano (M5S) richiedeva una «revisione profonda degli accordi» ma aggiungeva che, «se abbiamo delle commesse da pagare, certamente non passeremo alla storia per aver tradito un accordo fatto con aziende private: c’è un’intera filiera che va rispettata». Lo scorso maggio il governo Conte I autorizzava «la realizzazione e la consegna di 28 caccia F-35 entro il 2022 (i velivoli sinora consegnati sono 13), i cui contratti sono stati completamente finanziati», ovviamente con denaro pubblico.
Lo scorso ottobre, nei colloqui riservati col governo Conte II a Roma, il segretario di stato Usa Mike Pompeo richiedeva all’Italia di sbloccare l’ordine per un ulteriore acquisto. Subito il ministro della Difesa Guerini lo assicurava, in una intervista al Corriere della Sera,  che  «l’Italia è un paese affidabile e credibile rispetto agli impegni internazionali: contribuire al programma F-35 è un segno tangibile della nostra affidabilità». Pochi giorni dopo, nella conferenza stampa a Washington col presidente Mattarella, il presidente Trump annunciava esultante: «L’Italia ha appena acquistato 90 nuovissimi F-35. Il programma va molto bene».
L’Italia conferma quindi l’impegno ad acquistarne 90, con una spesa prevista in circa 14 miliardi di euro. Ad essa  si aggiunge quella inquantificabile per il continuo aggiornamento del software del caccia. L’Italia non è solo acquirente ma fabbricante dell’F-35, quale partner di secondo livello. La Leonardo – la maggiore industria militare italiana, di cui il Ministero dell’economia e delle finanze è il principale azionista con circa il 30% – è fortemente integrata nel complesso militare-industriale Usa. E’ stata per questo scelta per gestire lo stabilimento Faco di Cameri (Piemonte), da cui escono i caccia destinati all’Italia e all’Olanda. La Leonardo produce anche le ali complete per aerei assemblati negli Usa, utilizzando materiali prodotti negli stabilimenti di Foggia (Puglia), Nola (Campania) e Venegono (Lombardia). L’occupazione alla Faco è di circa un migliaio, di cui molti precari, appena un sesto di quella preventivata. Le spese per la realizzazione dello stabilimento Faco e l’acquisto dei caccia sono superiori all’importo dei contratti stipulati da aziende italiane per la produzione dell’F-35. Dal punto di vista economico, contrariamente a quanto sostiene il governo, la partecipazione al programma dell’F-35 è fallimentare per le casse pubbliche.
Il ministro Guerini ha avviato la fase 2 del programma sugli F-35 «senza una valutazione di merito e in assenza di un’informativa, in contrasto con le indicazioni del Parlamento», denuncia il deputato di LeU Palazzotto, chiedendo che il ministro spieghi «su che basi ha autonomamente assunto questa decisione». Nella sua «spiegazione» il ministro non dirà mai la vera ragione per cui ha assunto tale decisione, non autonomamente ma su mandato dell’establishment italiano. La partecipazione al programma dell’F-35 rinsalda l’ancoraggio politico e strategico dell’Italia agli Stati uniti, integrando ancor più il complesso militare industriale italiano nel gigantesco complesso militare-industriale Usa. La decisione di partecipare al programma è quindi una scelta politica, fatta su base bipartisan. Lo conferma il fatto che la Lega, avversaria del Pd, plaude al ministro Pd: «Prendiamo atto con soddisfazione che sugli F-35 il ministro Guerini ha annunciato l’avvio della fase 2», dichiarano unanimi i parlamentari leghisti. Le maggiori forze politiche, in contrasto l’una con l’altra, si ricompattano al seguito degli Stati uniti, «l’alleato privilegiato» che tra poco schiererà in Italia, insieme agli F-35, le nuove bombe nucleari B61-12 progettate in particolare per questi caccia di quinta generazione.
il manifesto, 30 novembre 2019


Resultado de imagem para picture of NATO EXIT COMITTATO NO GUERRA NO NATO
http://www.natoexit.it/ -- ITALIANO



«DICHIARAZIONE DI FIRENZE»
Per la creazione di un fronte internazionale NATO EXIT in tutti i paesi europei della NATO.
Geografo e geopolitologo. Libri più recenti: Laboratorio di geografia, Zanichelli 2014 ; Diario di viaggio, Zanichelli 2017 ; L’arte della guerra / Annali della strategia Usa/Nato 1990-2016, Zambon 2016, Guerra Nucleare. Il Giorno Prima 2017; Diario di guerra Asterios Editores 2018, Premio internazionale per l'analisi geostrategica assegnato il 7 giugno 2019 dal Club dei giornalisti del Messico, A.C.

Tuesday, October 29, 2019

DE -- Manlio Diminui -- „Die Kunst des Krieges" -- Die F-35 waren Teil von Pompeos geheimer Agenda in Rom


„Die Kunst des Krieges“
Die F-35 waren Teil von Pompeos geheimer Agenda in Rom
von Manlio Dinucci


Der Tarnkappenjäger F-35 kann sich nicht nur vor dem Radar, sondern auch vor der Politik verstecken – es gibt keine Spur davon in Berichten über die Treffen von US-Außenminister Mike Pompeo in Rom. Der Corriere della Sera verrät jedoch, dass Pompeo Italien aufgefordert hat, die Rückstände der bereits erhaltenen Kampfjets zu bezahlen und die Bestellungen für künftige Verkäufe freizugeben, durch die erhaltene Zusicherung von Premierminister Giuseppe Conte, dass „wir unseren Vereinbarungen treu bleiben werden“.
Bislang hat Italien vierzehn F-35-Kampfjets vom US-Unternehmen Lockheed Martin gekauft, von denen dreizehn bereits ausgeliefert und „vollständig finanziert“ sind. Dies wurde dem Senat am 3. Juni von der damaligen Verteidigungsministerin Elisabetta Trenta (M5S) mitgeteilt, die weitere Verkäufe ankündigte, wodurch sich die Gesamtzahl der Flugzeuge bis zum Jahr 2022 auf 28 erhöhen würde. Italien hat zugesagt, neunzig F-35 für einen geschätzten Betrag von rund 14 Milliarden Euro zu kaufen. Zu diesem Betrag kommen die Kosten für die ständige Aktualisierung der Jetsoftware (alle operationellen Programme) hinzu, die exklusiv von Lockheed Martin durchgeführt wird. Wenn man nur die bisher gekauften Programme für die Kampfjets betrachtet, muss Italien bereits rund eine halbe Milliarde Euro aufwenden. Italien ist nicht nur der Käufer, sondern auch der Bauherr der F-35 als Partner der zweiten Ebene. Das Unternehmen Leonardo (ex-Finmeccanica) - das bedeutendste und größte italienische Militärunternehmen, dessen einziger Anteilseigner das Wirtschafts- und Finanzministerium mit einem Anteil von etwa 30% ist - verwaltet die Montagelinie und testet die F-35 auf dem Gelände in Faco di Cameri (Piemont), der Quelle der für Italien und die Niederlande bestimmten Kampfjets.
Leonardo produziert auch komplette Tragflächenkomponenten für die in den USA gebauten Flugzeuge aus Materialien, die in Einrichtungen in Foggia (Apulien), Nola (Kampanien) und Venegono (Lombardei) hergestellt werden. Die US-Regierung hat die Niederlassung in Cmeri als europäisches Regionalzentrum für die Wartung und Aktualisierung des Rumpfes ausgewählt.
In der Fabrik in Faco gibt es etwa tausend Arbeitsplätze, von denen viele prekär sind, insgesamt etwa ein Sechstel der geplanten. Die Kosten für den Bau der Einrichtungen und den Kauf der Kampfjets sind weitaus höher als die in den Verträgen der italienischen Unternehmen für die Produktion der F-35 genannten Beträge - und wir dürfen nicht vergessen, dass, während die Gewinne fast ausschließlich in die Kassen der Privatunternehmen fließen, das Geld aber aus dem öffentlichen Haushalt stammt, der die italienischen Militärausgaben auf die heutigen Kosten von 70 Millionen Euro pro Tag ansteigen lässt.
Außenminister Mike Pompeo betonte bei seinen Treffen mit Präsident Mattarella und Premierminister Conte, dass Italien und andere europäische Länder ihre Investitionen in das gemeinsame Verteidigungsprogramm der NATO erhöhen müssen. Zweifellos wurde dieses Anliegen  von Pompeo in privaten Sitzungen nicht auf diplomatische Weise, sondern in Form eines Befehls unterbreitet. Zweifellos, während das Außenministerium Italien dafür schmeichelt, dass es „mehr als 30.000 Militärangehörige und Pentagonmitarbeiter in fünf großen Basen und mehr als fünfzig kleinen Anlagen willkommen geheißen hat“, hatte Mike Pompeo in privaten Treffen die Einrichtung anderer Militärbasen in Italien gefordert (vielleicht im Austausch für einige US-Steuererleichterungen für italienischen Parmesan).
Zweifellos gab es in der geheimen Agenda von Pompeo auch die Vorbereitung auf die bevorstehende Ankunft der neuen US-Atombomben B61-12 in Italien, die die bisherigen B-61 ersetzen werden.
Neue Atomwaffen, die insbesondere für die Jagdbomber F-35A geplant sind, darunter sechs der italienischen Luftwaffe, wurden im Oktober von der NATO als voll einsatzfähig bestätigt.
Mike Pompeo kümmerte sich nicht nur um materielle Angelegenheiten in Rom, wie die F-35 und Parmesan. In einem vatikanischen Symposium am 1. Oktober hielt er eine Kanzelrede über Menschenwürde und Glauben in freien Gesellschaften[1]: Er erklärte, dass „die Vereinigten Staaten etwas später als der heilige Petrus kamen, aber seit  wir da sind, haben wir die Religionsfreiheit immer geschützt“ und damit die „Menschenwürde“". Er warf China, Kuba, dem Iran und Syrien vor, diese Freiheit zu unterdrücken. Diese Worte wurden vor einem großen Kreuz gesprochen, von einem heiligen Mann, der, als er der Kopf der CIA wurde, dem Kongress erklärte, dass er beabsichtige, „die Wiedereinführung von Waterboarding (ein Beinahe-Tod durch vorgetäuschtes  Ertrinken) und anderen Maßnahmen der extremen Befragung“, also Folter, in Betracht zu ziehen.
il manifesto, 8. Oktober 2019
Übersetzung: K.R.


ERKLÄRUNG VON FLORENZ
FÜR EINE INTERNATIONALE NATO-AUSTRITTS-FRONT

Manlio Dinucci
Geograph und Geopolitiker. Seine neuesten Bücher sind Laboratorio di geografia, Zanichelli 2014 ; Diario di viaggio, Zanichelli 2017 ; L’arte della guerra / Annali della strategia Usa/Nato 1990-2016, Zambon 2016, Guerra Nucleare. Il Giorno Prima 2017; Diario di guerra Asterios Editores 2018, Premio internazionale per l'analisi geostrategica assegnato il 7 giugno 2019 dal Club dei giornalisti del Messico, A.C. 

NL -- Manlio Dinucci -- « De kunst van de oorlog " -- De F-35's maakten deel uit van Pompeo's geheime agenda in Rome



« De kunst van de oorlog "
De F-35's maakten deel uit van Pompeo's
geheime agenda in Rome
door: Manlio Dinucci



De F-35 is in staat om zich niet alleen te verbergen voor radar, maar ook voor politiek - er is geen enkel spoor van dit alles terug te vinden in verslagen van de vergaderingen van de Amerikaanse minister van Buitenlandse Zaken Mike Pompeo in Rome. De Corriere della Sera onthult echter dat Pompeo Italië gevraagd heeft om de achterstallige betalingen te betalen voor de reeds verkregen gevechtsvliegtuigen en om de orders voor toekomstige verkopen te deblokkeren, en dat hij van premier Giuseppe Conte de verzekering heeft gekregen dat «we trouw zullen blijven aan onze afspraken ».
Tot op heden heeft Italië veertien F-35 gevechtsvliegtuigen gekocht van het Amerikaanse bedrijf Lockheed Martin, waarvan er dertien, reeds geleverde, "volledig gefinancierd" zijn. Dit werd op 3 juni door de toenmalige minister van Defensie, Elisabetta Trenta (M5S), aan de Senaat meegedeeld, die verdere verkopen aankondigde die het totale aantal vliegtuigen tegen het jaar 2022 op achtentwintig zouden brengen. Italië heeft ermee ingestemd negentig F-35's te kopen voor een geschat bedrag van ongeveer 14 miljard euro. Bij deze kosten komen nog de kosten van het voortdurend updaten van de gevechtssoftware (alle operationele programma's) waarvoor Lockheed Martin de exclusiviteit heeft. Als alleen de programma's voor de tot nu toe aangekochte gevechtsvliegtuigen worden meegerekend, moet Italië nu al ongeveer een half miljard euro uitgeven. Italië is niet alleen de koper, maar ook de bouwer van de F-35, als tweede niveau partner. Het bedrijf Leonardo (ex-Finmeccanica) - de belangrijkste grote Italiaanse militaire industrie, waarvan het ministerie van Economie en Financiën de enige aandeelhouder is, met een percentage van ongeveer 30% - beheert de assemblagelijn en test de F-35's op de site in Faco di Cameri (Piemonte), de bron van de gevechtsvliegtuigen bestemd voor Italië en Nederland.
Leonardo produceert ook complete vleugelstructuren voor de vliegtuigen die in de Verenigde Staten zijn geassembleerd, waarbij gebruik wordt gemaakt van materialen die in vestigingen in Foggia (Puglia), Nola (Campanië) en Venegono (Lombardije) zijn geproduceerd. De Amerikaanse regering heeft de vestiging in Cameri gekozen als Europees regionaal centrum voor het onderhoud en de modernisering van de romp.
De fabriek van Faco telt ongeveer duizend banen, waarvan er vele onzeker zijn, een totaal van ongeveer een zesde van de geplande banen. De kosten voor de bouw van de vestigingen en de aankoop van de gevechtsvliegtuigen zijn veel hoger dan het bedrag dat in de contracten van de Italiaanse bedrijven voor de productie van de F-35's wordt genoemd - en we mogen niet vergeten dat de winsten bijna uitsluitend naar de schatkist van de particuliere bedrijven gaan, maar dat het geld uit publieke middelen wordt gehaald (overheidsbegroting) , wat de Italiaanse militaire uitgaven opdrijft tot het huidige bedrag van 70 miljoen euro per dag.
Staatssecretaris Mike Pompeo benadrukte in zijn ontmoetingen met president Mattarella en Premier Conte de noodzaak voor Italië en andere Europese landen om "hun investeringen in het collectieve defensieprogramma van de NAVO te verhogen". Het lijdt geen twijfel dat dit verzoek van Pompeo in privé-vergaderingen niet op een diplomatieke wijze, maar op een ordelijke manier werd gedaan. Terwijl het ministerie van Buitenlandse Zaken Italië zonder twijfel complimenteert met het feit dat het "meer dan 30.000 militairen en werknemers van het Pentagon in vijf grote bases en meer dan vijftig kleine installaties heeft verwelkomd", zou Mike Pompeo tijdens privé-bijeenkomsten de installatie van andere militaire bases in Italië hebben geëist (misschien in ruil voor een V.S. belastingverlaging voor het Italiaanse Parmezaanse leger).
Ongetwijfeld was er in Pompeo's geheime agenda ook de voorbereiding voor de op handen zijnde komst van de nieuwe Amerikaanse B61-12 kernbommen in Italië, die de huidige B-61's zullen vervangen.
Nieuwe kernwapens, met name gepland voor de F-35A jachtbommenwerpers, waaronder zes van de Italiaanse Aeronaval, werden in oktober door de NAVO goedgekeurd als zijnde volledig operationeel.
Mike Pompeo zorgde niet alleen voor materiële zaken in Rome, zoals de F-35 en Parmesan. Op een symposium van het Vaticaan op 1 oktober houdt hij een preek over de menselijke waardigheid en het geloof in vrije samenlevingen [1] : hij verklaart dat "de Verenigde Staten iets later zijn aangekomen dan de heilige Petrus, maar dat wij sinds wij hier zijn, de vrijheid van godsdienst altijd hebben beschermd" en daarmee ook de "menselijke waardigheid". Hij beschuldigt China, Cuba, Iran en Syrië ervan deze vrijheid te verstikken. Deze woorden worden uitgesproken voor een groot kruis, door een heilige man die, toen hij hoofd van de CIA werd, aan het Congres verklaarde dat hij "de herintroductie van waterboarding (een bijna-dood door verdrinkingstechniek) en andere maatregelen van extreme ondervraging", met andere woorden, marteling, in overweging wilde nemen.
il manifesto, 8 October 2019 https://www.voltairenet.org/squelettes/elements/images/ligne-rouge.gif
Vertaling: Martien

DECLARATIE VAN FLORENCE

Manlio Dinucci

Geographer and geopolitical scientist. His latest books are Laboratorio di geografia, Zanichelli 2014 ; Diario di viaggio, Zanichelli 2017 ; L’arte della guerra / Annali della strategia Usa/Nato 1990-2016, Zambon 2016, Guerra Nucleare. Il Giorno Prima 2017; Diario di guerra Asterios Editores 2018, Premio internazionale per l'analisi geostrategica assegnato il 7 giugno 2019 dal Club dei giornalisti del Messico, A.C.

Arriving in China

Ver a imagem de origem


APPEAL TO THE LEADERS OF THE NINE NUCLEAR WEAPONS’ STATES

(China, France, India, Israel, North Korea, Pakistan, Russia, the United Kingdom and the United States)

中文 DEUTSCH ENGLISH FRANÇAIS ITALIAN PORTUGUESE RUSSIAN SPANISH ROMÂNA





contributing author

to Cynthia McKinney's new COVID-19 anthology

'When China Sneezes'

When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis

MOON OF SHANGHAI

MOON OF SHANGHAI
Click image

vp 2007

manlio

President of Russia Vladimir Putin:

Address to the Nation

Address to the Nation.


J Bacque

vp


The President of Russia delivered the Address to the Federal Assembly. The ceremony took place at the Manezh Central Exhibition Hall.


January 15, 2020

Joint news conference following a Normandy format summit

https://tributetoapresident.blogspot.com/2019/12/joint-news-conference-following.html

Joint news conference following the Normandy format summit.

Manlio

PISA BOOK FESTIVAL

convegno 2019

do the maths